PRATIQUES ANTRHOPIQUES AUTOUR DU LAC EDOUARD





Le lac Édouard est soumis à une pression humaine croissante (taux de croissance de la population : pêches illicite, chasse et dégradation de l’habitat, par extension des terres agricoles, satisfaction des besoins énergétiques et exploitation forestière non contrôlée.




Les chefs coutumiers responsables des coopératives des pêcheurs autour du lac Édouard doivent renforcer leurs efforts pour la sécurité du lac Édouard et augmenter des relations actives avec les gestionnaires du Parc et des communautés locales pour développer une approche régionale de préservation de la nature.

Sans cette optique, l’insécurité continuerait à s’accroitre. Des bandes lourdement armées autour du lac Édouard proviennent dans différent chefferies dont les chefs coutumiers doivent apporter leurs efforts soutient aux gestionnaires du Parc pour diminuer l’insécurité accrue autour du lac Edouard, cela à l’intérêt de la génération future et la bonne Gestion de la biodiversité, Recherche scientifique.

Les défis et contraintes qui touchent la valeur des écosystèmes du lac Édouard sont à relaver entre autres :

a.Absence de l’autorité de l’Etat autours des zones humides ;
      b.Situation politique et  sécuritaire instable;
c.Surpopulation autour des zones protégée;
d.Groupes armés dans et autour de l’aire protégée ;
e.Absence de Stratégies politique de collaboration. (Dont implication des autorités étatique aux menaces élevées autour des zones protégée) : Cas du lac Édouard et secteurs BINZA ;
f.Blocage de formation/renforcement des capacités des acteurs environnementaux locaux proche de ces zones protégées (écoles, société civile), pour la vulgarisation des lois et codes sur la conservation et sur la forêt, distribution des outils éducatifs (posters, dépliants, magazine d’éducation environnementale), bibliothèque.






Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le pétrole et les écosystèmes

ATTENUATION DES CHANGEMENTS CLIMATIQUES

PRATIQUE ANTHROPIQUE DANS LE PARC NATIONAL DES VIRUNGA « Trafic d’Ivoires »